Silure

Invité

Le silure

Illustration du domaine public (expiration du copyright)
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Nom scientifique : Silurus glanis
Famille : Siluridés
Poids : 0,2 à 100 kg (en France)
Taille : 0,5 à 2,5 m (en France)
Durée de vie : 20 ans
Nota : le silure est originaire d'Europe centrale et orientale et serait apparu dans l'est de la France au XIXe siècle dans le Rhin et le Doubs. Depuis, sa présence dans le pays s' est généralisée.
Malgré une ressemblance, le silure et le poisson-chat sont deux espèces différentes.
Description
Le silure est un poisson carnassier de grande taille ; c'est le plus grand poisson d'eau douce. Son corps allongé et aplati dans la partie postérieure lui donne un aspect serpentiforme. La tête très large et plate présente une bouche largement fendue comportant 6 barbillons (3 paires), véritables organes chimio-sensoriels : deux implantés sur la mâchoire supérieure sont très développés et mobiles, les quatre autres sur la mâchoire inférieure sont petits et statiques. Les dents sont très petites et orientées vers l'intérieur pour retenir les proies. Les yeux sont minuscules.
L'unique nageoire dorsale est petite, au contraire de la nageoire anale qui est très longue et à peine séparée de la nageoire caudale (queue). Les nageoires pectorales possèdent un rayon épineux acéré.
Sans aucune écaille la peau du silure est recouverte d'un mucus abondant. La livrée est variable et parfois marbrée. Il peut être brun ou vert-olive, voire gris-brun. Le dos est en général plus sombre que les flancs ; le ventre est plus clair.
Mœurs
Le silure préfère les profondeurs des eaux calmes et les courants lents des fleuves et des grandes rivières. On le trouve également dans les lacs et les canaux.
Il aime se tenir dans le fond, et ses postes de prédilection sont les fosses, les zones d'herbiers, les branches immergées, les grosses roches, la proximité des piles de ponts.
On dit qu'il est plus actif la nuit ainsi qu'à l'aube et au crépuscule, mais il chasse aussi le jour surtout si le temps est couvert et les eaux légèrement teintées, à la suite d'une crue par exemple. Certains pêcheurs affirment avoir pris plusieurs silures dans un laps de temps très bref, ce qui tend à attester qu'il n'est pas le chasseur solitaire qu'on a cru. De même, des pêcheurs affirment qu'il ne chasse pas exclusivement au fond après avoir vu des silures attaquer leurs leurres près de la surface.
En hiver, il s'enfouit ou se cale dans les zones de grande profondeur au courant lent et réduit fortement son activité alimentaire.
Alimentation
Le silure se nourrit de poissons, de moules, d'écrevisses, d'escargots d'eau, de grenouilles, mais il ne dédaigne pas les rongeurs ni les oiseaux aquatiques. Il pratique le cannibalisme.
Toutefois, malgré la taille de sa bouche, l'étroitesse de son gosier n'en fait pas un ogre d'eau douce tel qu'on l'a décrit.
Reproduction
Le frai a lieu de mai à juin, voire juillet, lorsque la température de l'eau est proche de 20°C. La femelle pond 20 000 à 30 000 œufs par kilo de son poids dans un nid préparé par le mâle le plus souvent dans les racines d'arbres de la rive en eau peu profonde auxquelles ils adhèrent. L'incubation dure une dizaine de jours. Seul le mâle protège les œufs.

La pêche du silure
Un bel article illustré pour aborder la pêche du silure (cliquez sur le titre).

- À la bouée

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Bonjour

En l'attente de + d'infos sur ce gros matou, je vous mets quelques vidéos sympa a regarder cet homme J.C. Tanzilli

http://www.tanzilli-aventures.com/

kim

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On le surnomme en France : Glane, salut, poisson-chat (à tort)

Autres pays: Shad-fish (Angleterre) Wels, Donaufish (Allemagne), Siluro (Italie) Som, (Russie).

.Nageoires et épines.

La courte dorsale dépourvue de rayons épineux, se situe à l'avant de l'aplomb des pelviennes. IL
Les pectorales placées près des fentes branchiales, sont garnies d'un fort rayon épineux.
L'anale très longue se termine à proximité de la caudale; cette dernière est légèrement échancrée et à bords arrondis.
Il n'a pas de nageoire adipeuse sur le dos contrairement au poisson-chat.

Comment est-il arrivé en France.

Originaire d'Europe orientale et centrale, le silure est arrivé en France en 1857, à la ferme piscicole d'Huninge, en Lorraine, époque à laquelle il a été introduit dans
le Doubs. En 1960 il a été introduit dans la Selille.
Depuis 1980, il se développe plus largement un peu partout à la suite de repeuplements. Vers l'an 2000, il aura vraisemblablement envahi l'ensemble du réseau
hydrographique français.
éditions Atlas

Réputation : 0

Un p'tit + sur ce poisson dont la réputation de mangeur de chiens et même d'enfants avait de lui un prédateur qu'il fallait éliminé.
J'ai lu pas mal de choses sur ce poisson dont un débat avait été fait pour défendre sa cause.

Son activitée est essentiellement nocturne, il se nourrit aussi bien d'écrevisses sur le fond que de canetons et de petits rongeurs en surface.
Il ne dédaigne pas les animaux morts s'ils sont frais.
Si dans les régions asiatiques il atteint quelques 400 ou 500 kg. En France il ne semble guère dépassé 200 kg.

Evidemment, il n'attaque ni les chiens ni les enfants comme l'ont prétendu certains
Le silure semble se créer un territoire qu'il défend contre les intrus et notamment contres ses congénères.
On l'introduit parfois pour tenter d'éliminer les brèmes ce qui semblent assez irréaliste dans la mesure où il ne peut se nourrir que des jeunes (ce que le brochet
fait également.

éditions Atlas

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kim du 22 a écrit:: On le surnomme en France : Glane, salut, poisson-chat (à tort)

Autres pays: Shad-fish (Angleterre) Wels, Donaufish (Allemagne), Siluro (Italie) Som, (Russie).

.Nageoires et épines.

La courte dorsale dépourvue de rayons épineux, se situe à l'avant de l'aplomb des pelviennes. IL
Les pectorales placées près des fentes branchiales, sont garnies d'un fort rayon épineux.
L'anale très longue se termine à proximité de la caudale; cette dernière est légèrement échancrée et à bords arrondis.
Il n'a pas de nageoire adipeuse sur le dos contrairement au poisson-chat.

Comment est-il arrivé en France.

Originaire d'Europe orientale et centrale, le silure est arrivé en France en 1857, à la ferme piscicole d'Huninge, en Lorraine, époque à laquelle il a été introduit dans
le Doubs. En 1960 il a été introduit dans la Selille.
Depuis 1980, il se développe plus largement un peu partout à la suite de repeuplements. Vers l'an 2000, il aura vraisemblablement envahi l'ensemble du réseau
hydrographique français.
éditions At

Information totalement a revoir ce poisson et bien venu naturellement en France par la Seille le premier qui a été pris c'est un gamin qui pêchais au alentour de Louant et si deux pêcheurs n'étais pas venus a son aide il ne s'en serai pas sorti
Comment il est arrivé dans cette rivière par les canaux en provenance des lac Suisse
Les premiers que j'ai vue c'est lors d'un marathon de pêche a Neuchâtel les pêcheurs en avais mis dans ne fontaine

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kim du 22 a écrit:: Un p'tit + sur ce poisson dont la réputation de mangeur de chiens et même d'enfants avait de lui un prédateur qu'il fallait éliminé.
J'ai lu pas mal de choses sur ce poisson dont un débat avait été fait pour défendre sa cause.

Son activitée est essentiellement nocturne, il se nourrit aussi bien d'écrevisses sur le fond que de canetons et de petits rongeurs en surface.
Il ne dédaigne pas les animaux morts s'ils sont frais.
Si dans les régions asiatiques il atteint quelques 400 ou 500 kg. En France il ne semble guère dépassé 200 kg.

Evidemment, il n'attaque ni les chiens ni les enfants comme l'ont prétendu certains
Le silure semble se créer un territoire qu'il défend contre les intrus et notamment contres ses congénères.
On l'introduit parfois pour tenter d'éliminer les brèmes ce qui semblent assez irréaliste dans la mesure où il ne peut se nourrir que des jeunes (ce que le brochet
fait également
éditions Atlas

Pour la plaisanterie un copain de l'école de pêche de Lyon sur une tête de silure provenant de TANZILY avait mis le chausson d'un
plongeur dans la gueule et fait paraitre dans le progrès Le silure s'attaque même au plongeurs

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