Le forum d'entraide, de conseils et d'astuces sur l'art de la pêche. |
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Auteur | Message |
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beeckman jean pierre
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| Sujet: pêche au coup classique en canal. Mer 30 Mai 2007, 20:53 | |
| poissons ciblés : tout poisson sauf le brochet ou autres gros carnassiers : gardon, goujon, rotengle, chevesne, ablette, brème, carpe , tanche... anguille et perche. époque : toute saison
difficulté : c'est une pêche assez simple si l'appât choisi est un asticot, mais s'il s'agit de pêcher à la pâte ou à la graine la technique est plus délicate. Ne pas oublier qu'il faut préparer le coup (amorçage, voire accoutumance à un appât).
équipement : une canne de plus de 10 m. Préférer un scion avec élastique (roubaisienne) afin de mater les beaux poissons.
les types de montage :
montage entre deux eaux :
le flotteur : déterminer sa taille par rapport à la distance à atteindre. La forme du bouchon dépendra du vent et de l'agitation de l'eau (passage de péniches fréquents) : un flotteur cylindrique tient mieux au vent, mais la plume sera mieux équilibrée et plus légère. Pour la pêche entre deux eaux l'équilibrage et la sensibilité du bouchon est essentiel. l'hameçon : le choisir en fonction de l'esche, mais préférer un hameçon droit, qui piquera le poisson dès le ferrage. fil : le choisir fin 8/100 en bannière plombée : olivette et cendrées montage de pêche au fond :
le flotteur : déterminer sa taille par rapport à la profondeur à atteindre donc à sa portance. La forme du bouchon dépendra du vent et de l'agitation de l'eau (passage de péniches fréquents) : un flotteur cylindrique tient mieux au vent. l'hameçon : le choisir en fonction de l'esche, mais pour le fond préférer un hameçon dit "renversé". fil : ne pas descendre en dessous de 10/100 en bannière, sinon gare aux casses. plombée : olivette appât :
asticots : toute l'année. Spectre large. surtout entre deux eaux ou au-dessus du fond ver de vase : c'est une esche très appréciée, mais fragile. Surtout en automne et en fin de printemps. vers : ils seront très appréciés des beaux poissons (attention aux sandres et brochets qui ne dédaignent pas le gros lombrics) les graines : s'ils sont accoutumés les beaux poissons seront mordeurs (amorçage obligatoire), attention aux casses. les pâtes synthétiques et naturelles : rentables si l'amorçage suit le grain de riz : peu cuit, pour sa tenue sur l'hameçon, associé à une amorce riche en riz très cuit : vous serez étonnés. amorce: amorce du commerce pour canal et amorce "maison",ou . D'une manière générale l'amorce sera à base de farines et lait en poudre, en surface, et de chapelures plus graines moulues pour la recherche en profondeur.
utilité : parmi les objectifs ciblés : pêche calme, en famille ou entraînement pour les concours. Remettez les petites carpes ou petits sandres et perchettes à l'eau...
Si c'est possible, en été, préférer la proximité d'herbier, de nénuphars, de couloir dans la végétation. Sinon sonder le fond afin de déceler une zone de profondeur constante pour la pêche entre deux eaux. La pêche à fond s'effectuera de préférence dans le chenal.
En eau calme l'amorçage est indispensable. La pêche en canal est une pêche qui se prépare afin de faire venir le poisson et de le fixer le plus longtemps possible sur le coup. Amorcer donc dès votre arrivée (grosses boulettes, mais pas trop serrées), puis effectuer des rappels de temps à autre (petites boulettes). Amorcer à nouveau en cas d'éclusée ou de passage de bateau. Votre amorce sera plus ou moins compacte suivant que vous rechercher les poissons plutôt entre deux eaux ou sur le fond (une amorce peu compacte éclatera peu après avoir touchée la surface).
En cas de pêche à la graine vous aurez tout bénéfice à préparer votre coût au moins 2 jours avant.
Attention au éclusée, au passage des bateaux qui font fuir les poissons rassemblés sur les coups amorcés.
L'aval immédiat des écluses rassemble souvent des poissons qui attendent les "levées de vase" pour y trouver des particules alimentaires. | |
| | | Kimi du 22
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| Sujet: Bons coins et bons moments. Dim 02 Mar 2008, 08:16 | |
| Etangs et lacs naturels, sont les plus réguliers pour pêcher les poissons blancs en mars, car moins soumis aux caprices de la météo. Les berges les plus ensoleillées (exposées au sud) permettrons très vite aux végétaux aquatiques de développer leurs premières pousses de l'année, dont raffolent tous les cyprinidés ! Pour vos premières bourriches de l'année, c'est là qu'il vous faudra tendre vos lignes, en choisissant un poste bien dégagé (pour laisser passer au maximum les rayons du soleil)et en pente douce pendant quelques mètres. L'idéal: une profondeur de deux bons mètres à cinq ou six mètres du bord, avec une zone presque entièrement couverte d'herbiers à la belle saison. Vos souvenirs de l'été dernier seront donc du plus haut intérêt.. Préférez les jours de soleil, sans vent ou avec un léger souffle de sud ou d'ouest, annonciateur de pluie et de douceur. Les jours de pluie fine et douce, sans le moindre souffle de vent, sont également intéressants. Le temps et le vent du nord ne valent pas grand chose, sauf durant les heures les plus ensoleillées.. et seulement pour les petits poissons. *En rivière, la réussite dépend du niveau et de la température des eaux. Par eaux fortes et tempérées (suite à de grosses pluies océaniques, par expl), vous ferez de belles pêches dans les endroits calmes et dans les remous. Surveillez tout particulièrement l'embouchure des tributaires (surtout s'ils charrient des eaux plus sales que celle de la "rivière-mère") où de grandes concentrations de petits poissons se forment parfois. Les bras morts, biefs de moulin désaffectés et autres abreuvoirs sont également de plus haut intérêt, notamment pour tanches et carpeaux, qui s'y réfugient souvent.. et s-y nourrissent abondamment ! Par eaux basses et claires, cherchez les parties les plus calmes et les plus ensoleillées, si possible bordées d'une zone peu profonde. Les jours de temps doux et ensoleillé, les jours de pluie fine, et les périodes de crue montante, correspondent aux meilleurs moments. voilà, pour la pêche au coup Ce n'est qu'un + que certains d'entre-vous connaissent. | |
| | | kim du 22
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| Sujet: La Pêche à la longue coulée au "tout-venant" Ven 10 Juil 2009, 10:05 | |
| Bonjour à vous :flower: *A la longue coulée au "tout-venant". Qu'est-ce que la pêche au "tout-venant" ? En fait, c'est une pêche que l'on pratique sans préférence absolue quant à l'espèce des captures, en se contentant de prendre ce qui accepte l'esche offerte. La longue coulée, consiste à laisser filer un flotteur en aval, au gré du courant, en donnant du fil, 20, 30 m ou plus encore. Cette méthode permet de leurrer des poissons méfiants, ou bien de pêcher des coups qui seraient inaccessible par les méthodes classiques. La longue coulée au "tout-venant" est une technique estivale, que l'on peut mettre en oeuvre à peu près dans toutes les rivières où l'on peut marcher dans l'eau sans risques et qui présentent une variété suffisante de coups, alternant courants et calmes profonds et plages, etc... A quels poissons s'adresse cette méthode ? On pourrait dire tous, mais certaines espèces sont plus fréquemment capturés: ce sont les beaux gardons, les goujons, les vandoises, les chevesnes de toutes tailles, les barbeaux et même les truites, si la rivière en contient ! Oui mais, nous direz-vous est-il possible de toucher tout cela avec le même matériel ? En fait oui, ou presque; dans cette pêche ou l'on se déplace beaucoup, il faut s'encombrer au minimum , et au cours d'une même séance, peu de choses seront changées. Le matériel de base se composera d'une canne anglaise à anneaux surélevés, d'un petit moulinet à tambour fixe rempli de 14/100; panier épuisette obligatoire , waders ou maillot de bain, selon la température de l'eau! Dans une boîte tenant facilement dans une poche ou fixée sur le côté du panier, mettre: trois ou quatre flotteurs très visibles, tenant bien dans les courants, supportant 1 g environ (pour les coins vraiment tourmentés, un toulousin de petite taille est excellent), quelques pochettes d'hameçons montés N° 14 à 18, une boîte de cendrées de plusieurs tailles. Voici pour le matériel. Les esches compte tenu de la variété des clients potentiels, peuvent être très diverses; emportez des asticots, quelques vers de terreau; porte-bois et patraques seront récoltés sur place, si la rivière en contient. *L'action de pêche. Imaginons, par une journée de juillet un radier rapide et praticable en wading, s'assagissant peu à peu pour former un courant régulier, d'une profondeur de 1 m à 1,50; en se plaçant en plein dans le radier, juste au-dessus du "trou", il est possible d'effectuer une coulée de quelques 30 mètre. Commençons à tout hasard avec deux asticots piqués sur un N° 16, fixé sur 12/100. Le fond est réglé à 1 m; le flotteur descend le courant, qui devient de plus en plus lent à 20 m de là; aucune touche à la première coulée: augmentons le fond de quelques 20 cm; l'antenne danse dans les vaguelettes, puis soudain plonge vivement: ferrage à vide. Autre essai, la touche se renouvelle un peu plus loin: ce n'est qu'une vandoise de taille modeste, qui est suivie de quelques autres, peu de temps après. Des éclairs cuivrés se produisent en biais aval, un peu à l'écart du courant central; seraient-ce des barbeaux ? Faisons une coulée avec toujours deux asticots; cette esche les laisse indifférents, pourtant ils semblent gratter les galets; ils sont même assez nombreux, apparemment. Une pierre soulevées dans le radier rapporte une dizaine de porte-bois, jaunes et dodu. Un seul porte-bois est esché sur le N° 16; la ligne est réglée pour traîner un peu sur le fond; un jet quelques mètres en amont des éclairs, et le flotteur descend, légèrement freiné par l'index sur le bord de la bobine/ toujours rien, puis un peu plus en aval, quelques tocs presque imperceptibles, et la ligne semble accrochée tant la plongée du flotteur est régulière; ferrons quand même et... la bobine du moulinet crisse sous la pression d'un poisson lourd et puissant; quelques minutes plus tard, un barbillon d'une livre et demie gigote dans l'épuisette. Un second de 250 g succombe à l'attrait d'un autre porte-bois, puis le coin semble déserté. Plus en aval, là ou l'eau devient calme, des gobages lents se produisent: des chevesnes moucheronnent, sortant nonchalamment leur dorsale et leur caudale avant de replonger discrètement. Une des petites sauterelles vertes ramassées tout à l'heure dans un pré est juste piquée en arrière de la tête, gardant toute sa vivacité; le flotteur est descendu au maximum, à 30 cm à peine de l'hameçon. L'esche arrive peu à peu dans la zone des gobages, en est bientôt entourée; le flotteur amorce tout à coup une glissade latérale, et plonge: ferrage, quelques coups de tête, décroché ! L'hameçon de 16 est trop petit pour cette esche; changeons -le pour un 14 forgé. Les chevesnes n'ont pas été effrayés, et leur manège recommence; au bout de deux coulées, nouvelles touche plus lente que la précédente un rush violent succède au ferrage, puis, après un temps assez bref, une silhouette grise aux nageoires orangées apparaît, en travers aval, se laissant venir en douceur jusqu'à l'épuisette: c'est un chevesne de près de 800 g. Deux autres lui succèderont, délicatement remis à l'eau. Plus loin, dans une coulée lente le long d'un arbre mort, trois perches de 100 à 150 g seront victimes d'un ver de terreau frétillant présenté au ras du fond. Le soleil est maintenant au zénith, et les galets se voient nettement dans l'eau claire; d'ailleurs, entre quelques rochers un peu plus importants des poissons modestes tournent sur le fond, semblables aux barbillons de ce matin: montons un N° 18, un asticot, et, dès la première coulée un beau goujon sombre est pris; huit autres seront ferrés, et rejoindront vandoises, barbillons, etc, dans le panier préalablement garni d'orties, qui maintiendront captures fraîches jusqu'au retour. PS: Alors, cette méthode n'est-elle pas tentante ? Pour un pêcheur qui désire s'amuser, pêcher tout en découvrant sans cesse de nouveaux coups, s'adaptant à des conditions toujours changeantes. Voilà, je vous ai mis cette technique, pour vous tous (expérimentés et surtout débutants, qui auront le plaisir pendant leurs vacances de pouvoir pêcher et de prendre quelques poissons, ne pas oublier non plus dame truite. kim. | |
| | | gardondefond
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| Sujet: Navigation et pêche au coup Lun 27 Juil 2009, 12:12 | |
| Nous avons tous, un jour ou l'autre, râlé après ces *#%$x de bateaux, qu'ils soient péniches ou de tourismes, qui nous empêchent de pêcher en rond !! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Mais j'ai remarqué la chose suivante : quand se présente un trou, une période sans touches, c'est souvent après le passage d'une péniche que l'activité reprend. Avez-vous fait le même constat et si oui, comment l'expliquez vous ? Gardondefond | |
| | | atiopekeu
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| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Lun 27 Juil 2009, 13:34 | |
| oui c vrai mois je crois expliquer ce phenomene car le poisson pour eviter de se faire balloter par les peniches se rapproche du bord pour se mettre a l abris donc l amorce etant entre 9 a 13 metre voila pourquoi on rattrappe des touches enfin c est mon avis | |
| | | gozzer
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Mar 28 Juil 2009, 11:20 | |
| +1 Je pense aussi que le passage d'un bateau, en particulier celui d'une péniche, qui parfois, quand elle est en charge, rase le fond, remue tout ça, dégage toutes les bestioles plus ou moins envasées, et alors les poissons se ruent sur cet apport de nourriture, et sur nos esches avec. | |
| | | Kashima
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Mar 28 Juil 2009, 23:15 | |
| Dernier point : la profondeur étant moins importante le long des rives, la végétation y est généralement plus dense aussi donc la densité de petites bestioles présentes doit aussi être plus importante qu'au plus profond du canal. Le nombre de bestioles emportées par la vague devrait aussi, en toute logique, être plus importante ... et ça, je pense que les poissons le savent aussi ! | |
| | | olivier91
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Mer 05 Aoû 2009, 14:41 | |
| Ma théorie sur ce phénomène est que le poisson se méfie à la longue de ce "tas" de nourriture providentielle qui lui est servit sous forme d'amorce avec ou sans terre et qu'il ne s'interresse qu'aux esches qu'elle contient et le fait que les bateaux "balayent" ce tas l'incite à revenir chercher les esches qu'il trouvait à cet endroit. D'où ma pratique de l'amorçage avec de la farine+terre en canal au début pour créer une trace olfactive qui fait venir le poisson rapidement et de ne faire le rappel qu'avec de la terre (arômatisée ou pas selon les goûts ou les croyances de chacun... j'aime bien y mettre de la cassonnade ou de la vergeoise pour la rendre plus collante et/ou de l'argile si beaucoup de courant + du viandox) l'avantage étant que cette technique rend le retour des touches rapide voir même, elles ne s'arrêtent pas car la terre est bien plus lourde que de la farine et de ce fait n'est pas ou peu balayée par les bateaux.... c'est également le principe de la fiente qui plaque l'amorece au fond mais je n'aime pas pêcher avec... alors je fais comme ça. | |
| | | kim du 22
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| Sujet: Une bonne connaissance du poisson, du lieu ... primordiale Ven 04 Sep 2009, 06:48 | |
| Bonjour les gars et fifilles :flower: Histoire naturelle. Comme tous pêcheurs le sait, une bonne connaissance des poissons, de leur anatomie, de leur physiologie et de leurs comportements est indispensable au pêcheur. Il dispose ainsi de tous les atouts pour localiser leurs postes, anticiper leurs réactions et agir en conséquence quelques soient leurs conditions. Un exemple; en période de crue, le néophyte à tendance a ranger ses cannes. Dérouté par la force du courant, il de demande bien où pêcher. Un pêcheur expérimenté privilégiera les secteurs ou les poissons peuvent s'abriter; les darses, les reculées et l'embouchure des affluents. Grâce à son savoir-faire, il fera également un choix judicieux d'appâts où de leurres. Ainsi, toujours dans les circonstances d'une crue, où les eaux sont teintées couleur chocolat, un pêcheur à la cuiller n'utilisera pas un leurre à palette brillante, mais noire, parce qu'il sait que les poissons la discerneront bien mieux. PS: à ne pas négliger son conseil, qui bien souvent est un bon apport de poissons de pris pendant cette période. (Parfois de belles prises) kim | |
| | | kim du 22
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| Sujet: Les poissons d'eau douce Ven 04 Sep 2009, 09:14 | |
| Bonjour à vous *Qu'est-ce qu'un poisson d'eau douce.Il n'est pas toujours aisé de définir si telle ou telle espèce pêchée est un poisson d'eau douce. Les cours d'eau réservent parfois des surprises, surtout si la mer n'est pas loin. (Jadis, il m'arrivait de piquer de la plie, alors que je pêchais la truite) Les poissons capturés dans les eaux douces ne sont pas forcément des espèces exclusivement dulcicoles Il y a les poissons migrateurs qui se reproduisent dans les rivières, les fleuves et autres cours d'eau (comme le saumon et l'alose) ou y grossissent (comme l'anguille. D'autres sont des espèces marines pouvant supporter d'importants changements de salminés, la plie et le flet en font partie. Cette capacité d'adaptation est également partagée par certains poissons d'eau douce. C'est le cas de l'épinoche, qui vit aussi bien en eau douce qu'en mer. Autre sujet d'étonnement: certains vertébrés aquatiques ressemblent à des poissons, mais n'en sont pas vraiment. C'est le cas des lamproies, des représentantes de l'ordre des pétromyzontiformes aux caractéristiques morphologiques et biologiques particulières: *Elles n'ont pas de mâchoires, leur bouche a une forme de ventouse. *Leur corps ne possède pas d'os. *La respiration se fait par des pores branchiaux. *Peu de poissons d'eau douce.Il existe entre 20 000 espèces de poissons sur la planète, mais seulement un peu plus de 4000 vivent dans les eaux douces (la majorité dans les eaux tropicales). En Europe, 200 ont été comptabilisées alors qu'en France il y en aurait plus de 70; En vérité, si on enlève les espèces rares et celles dont la répartition reste très localisée (comme l'apron, l'esturgeon, le barbeau méridional) ou qui ne mordent guère aux lignes, une quarantaine de poissons au maximum intéressent les pêcheurs. La plupart des poissons présents dans nos eaux douces sont des téléostéens Ils se distinguent par un squelette ossiffié Les premiers représentants sont apparus il y a 22O millions d'années. Avant, vivaient des poissons primitifs, aux formes surprenantes, dont il reste des ancêtres: l'esturgeon ou le lépisostée, un grand carnassier d'Amérique du Nord au squelette cartilagineux, qui peut atteindre plus de 2 m de longueur. *Des poissons venus d'ailleurs.De nombreux poissons ne sont pas autochtones en France. La carpe aujourd'hui est considérée comme indigène, mais elle fut introduite par les Romains. Pline l'ancien rapporte que ces poissons importés d'Asie étaient acheminées sur des bateaux pourvus de viviers. Quant au silure, qui a défrayée la chronique lors de son explosion démographique dans les années 1980, il y a été déversé pour la première fois en 1857, dans le bassin du Doubs. Lui aussi s'est bien acclimaté, contrairement au huchon, au crapet des roches et à beaucoup d'autres poissons, mais il est probable que dans les bassins du Rhône il soit présent depuis longtemps, comme le pense d'ailleurs les spécialistes. La truite arc-en-ciel, un salmonidé d'origine américaine, a également été importée, mais elle ne se reproduit guère dans nos milieux naturels. La présence de certaines espèces est accidentelle (poisson-chat, perche-soleil) et quelques unes ont franchi nos frontières en empruntant les canaux, comme le sandre, ce percidé originaire d'Europe centrale qui, aujourd'hui, passionne les pêcheurs. voilà, kim [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
| | | Invité Invité
| | | | gozzer
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Dim 27 Sep 2009, 06:18 | |
| A mon avis, les eaux se refroidissant peu à peu il faut te tourner vers des esches carnées.
A part l'asticot et le vaseux qui donnent bien toute l'année, pour le reste, dans ma p'tite tête, le schéma est assez simple: eau chaude = esches végétales , eau froide = esches carnées
C'est un peu simpliste, mais je crois ne pas être très loin de la vérité. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Dim 27 Sep 2009, 12:20 | |
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| | | Randall
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Dim 27 Sep 2009, 18:40 | |
| bonjour Esox17, tu sais je connais d'autre pecheurs qui se servent de graines toute l'année et ils en sont comptent. moi l'année passée en novembre et décembre j'ai peché au blé et au maiis dans la sambre et la meuse et j'ai fait de belles peches. | |
| | | gardondefond
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Dim 27 Sep 2009, 20:39 | |
| - gozzer a écrit:
- A mon avis, les eaux se refroidissant peu à peu il faut te tourner vers des esches carnées.
A part l'asticot et le vaseux qui donnent bien toute l'année, pour le reste, dans ma p'tite tête, le schéma est assez simple: eau chaude = esches végétales , eau froide = esches carnées
C'est un peu simpliste, mais je crois ne pas être très loin de la vérité. Excuses moi gozzer mais c'est effectivement simpliste. Mes plus belles pêches au chènevis je les ai faites en hiver. Pareil pour le pain. Je n'ai pas d'à priori dans ce domaine et j'essaye un peu tout toute l'année. Gardondefond | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Lun 28 Sep 2009, 13:57 | |
| - plananat a écrit:
- Bon c'est vrai que avec des asticots et de l'amorces browing j'en ai fait des joli mais le pain est très apprécier des gardon,de quoi faire de belle bourriche.
Ile se décolle vite et le ferrage n'est pas toujours réussi. Mais je dirais qu'ils préfères le pain que les asticots.
Bonjour plananat peux-tu m'expliquer comment pêcher au pain je suis novice en matière de pêche...moi je coupe une branche je met un bout de crin puis en guise de flotteur un bouchon de bordeaux et une allumette et c'est parti.. nan je déconne mis cette histoire de pêche au pain m'intéresse..Merci pour une réponse |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Lun 28 Sep 2009, 15:52 | |
| - Randall a écrit:
- tu prends une tranche de pain, et tu prends la partie qui se trouve entre la croute et la mie, et puis tu découpes cela en petit carré juste ce qu il faut pour mettre a ton hamecon, tu peux essayer cela fonctionne bien.
Merci Randall effectivement moi non plus je ne connaissais pas cette technique Merci |
| | | olivier91
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| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Mar 29 Sep 2009, 16:14 | |
| Les graines en hiver et particulièrement le maïs; car contrairement aux idées reçues, le maïs ne gave pas les poissons qui recrachent la peau et n'avale donc que la pulpe; sont de très bons appâts... particulièrement le maïs qui par sa couleur se démarque très bien dans l'eau et permet un amorçage important sans risque de gavage.
L'automne est également l'époque où un tas de graines tombent des arbres, ce qui rend cette pêche productive malgré le refroidissement progressif de l'eau.
Les esches carnées sont également appréciées pour leur teneur en protéines mais l'inconvénient; pour moi; c'est le manque d"attractivité des esches animales qui sont plus amorphes dans l'eau froide. | |
| | | gozzer
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Mar 29 Sep 2009, 19:21 | |
| Salut Benjamin ! Il n'y a pas de "meilleur appat", chaque saison, on pourrait presque dire chaque jour tellement c'est complexe, a son esche favorite. Il ya bien quelques grandes lignes, et encore ... Tiens, je t'invite à lire ce topic, très réçent puisqu'il a encore été alimenté aujourd'hui, tu verras qu'il y a une multitude d'options possibles, et tout autant d'esches envisageables pour le blanc. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Mar 29 Sep 2009, 21:10 | |
| [b] Merci de ta reponse j'ai été voir le lien que tu m'as donner et ceci m'a aidé. J'ai une petite question : je peche souvent en etang. J'utilise souvent des pinkies et j'ai souvent des prises avec des pinkies rouge. Donc pourquoi les rouges sont mieu que les autres ? |
| | | gozzer
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| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Mer 30 Sep 2009, 08:09 | |
| A mon avis, il n'y a pas de réponse absolue. C'est vrai que le rouge est une couleur qui "prend" bien, il n'y a qu'à voir les vers de vase par exemple qui sont très efficaces, mais si cela se trouve le lendemain d'une pêche réussie avec des rouges tu ne prendras qu'avec des blancs ou des bronzes...
Sans se lancer dans des frais, je crois qu'il est bon de partir avec plusieurs couleurs d'esche à sa disposition. Imagine que tu ne partes qu'avec des rouges et tu tombes sur une journée où ils ne prendront majoritairement que des blancs ... :affraid: | |
| | | olivier91
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Mer 30 Sep 2009, 12:09 | |
| Houlala !!!.... quel casse-tête!
Si un appât était meilleur que les autres.... ça se saurait!
Comme le dit Gozzer, chaque jour et même chaque heure dans une partie de pêche peut amener à avoir plus de réussite avec tel ou tel appât.
Une valeur sure est le vers de vase, dont tous les poissons s'accomodent car c'est un appât que le poisson connaît pour l'avoir quasiment tout le temps à disposition.
Maintenant, tel jour à telle heure, il sera plus productif de pêcher à la pâte par exemple.... ou même aux appâts syntétiques comme le Mystic....alors que cet appât est totalement absent du régime alimentaire du poisson mais qui sera ce jour là, plus prenant qu'un beau vers de vase, qu'un bel asticot ou qu'un délicieux grain de maïs.
Il convient donc de partir à la pêche avec un large éventail d'appâts afin d'avoir sous la main ce que le poisson préfèrera au moment opportun.
Dernière édition par olivier91 le Mer 30 Sep 2009, 12:15, édité 1 fois | |
| | | kim du 22
Réputation : 0
| Sujet: Les Casters Mer 21 Oct 2009, 17:36 | |
| Bonjour à vous
Les casters :
Je pense que bien de pêcheurs ont du connaître ce aléas. Supposons que l'on vous ai vendu une boîte d'asticots vivants et d'autres qui étaient bruns et qui ne bougeaient plus. Sont-ils aussi bons pour la pêche.
Les larves sont une des étapes de la transformation des insectes. L'asticot utilisé pour la pêche est prélevé sur les carcasses de bovins ou ovins. Ces carcasses sont proposées par les équarisseurs aux grossistes, puis ensuite aux revendeurs. Des manipulations qui provoquent évidemment quelques mortalités. Après le stade de l'accouplement et celui de la première forme primaire, celle de l'oeuf, celui-ci se transforme en larve,pour se protéger ensuite dans un cocon(la chrysalide) avant de devenir une mouche. C'est surtout cette substance interne qui intéresse les poissons, ceci explique pourquoi l'asticot est parfois sucé et non pas totalement engamé.
Donc, chez votre détaillant, ceux qui ne bougent plus sont: soit effectivement morts, soit ils sont en stade de transformation. S'ils sont bien blancs (ou maintenant parfois colorés) et possèdent une belle tache noire au milieu du corps, c'est qu'ils sont très frais. S'ils sont morts (gris , ternes et plats) c'est qu'ils n'auront pas supportés les manipulations. Ceci est parfois dû aussi à un mauvais contrôle de l'humidification de la sciure qui les protège. Vous devez toujours changer la sciure dès réception, comme votre revendeur doit être s'obliger à le faire dans son commerce de détail. Si les asticots sont déjà au stage de cocon, légèrement dorés, ils sont effectivement très avancés... mais tout aussi utilisables. C'est sous cette forme qu'ils seront vendus sous le terme générique de casters
Les casters ont le même effet gustatif que l'asticot, même supérieur, mais ils demandent un agrainage régulier et important sur le coup. Les casters sont plus intéressants pour une pêche de gros poissons en eaux lentes.
Pour utiliser correctement les casters, vous devez souvent contrôler le stade de transformation.
Dès qu'ils seront<<bruns dorés<<, vous les placerez dans de l'eau froide au réfrigérateur. Ceux qui flottent en surface sont inutilisables et vous les supprimerez.
Les gozzers (gros asticots) sont les larves d'une autre variété de mouche, ainsi que les pinkies (petits asticots) utilisés généralement en mélange dans l'amorce. Les asticots de chair de poisson sont également intéressants, mais vous ne devez pas les élever fond vous-même...au fond de votre jardin ! Les<<bourrus<< sont des asticots aux cerclages noirs sur le corps et légèrement poilus. Ils sont très efficaces sur les gros poissons comme le brème, la tanche et le hotu.
Sur ce bonne pêche.
kiim | |
| | | olivier91
Réputation : 0
| Sujet: Où se trouve le "blanc" ? Ven 11 Déc 2009, 14:17 | |
| Ça y est, le froid arrive !!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le poisson va migrer... si ce n'est pas déjà fait! Le repérage et la connaissance du milieu et du poisson vont devenir primordiaux.... alors, vous là!... derrière votre écran!... comment abordez-vous vos sorties de pêche?.... enfin pour ceux qui sortent! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Allez-vous sur les mêmes postes ? Où faut-il aller le chercher ce poisson ?
Dernière édition par olivier91 le Ven 11 Déc 2009, 17:40, édité 1 fois | |
| | | Davy
Réputation : 0
| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS Ven 11 Déc 2009, 16:46 | |
| Salut olivier [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Pour ma part je ne vais pas au meme poste bien au contraire. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] J'essaye de me diriger là ou l'eau pourrais etre moins froide et ou le poisson serait plus actif,c'est à dire: dans un endroit là ou l'eau est un peu de mouvement. Par exemple: deversement d'une riviere dans le canal (pour le gardon) PS:On m'a dit aussi que lorsqu'un héron est a l'affut sur une berge c'est qu'il y a du poisson [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
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| Sujet: Re: LE BLANC, SON APPROCHE,SES LIEUX FAVORIS | |
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