La terre ne nous appartient pas.
Nous l'avons hérité de nos ancêtres et nous devons la léguer à nos enfants .
L'eau, la mer, l'océan, la planète bleue : 70% de la surface de notre planète, 60% de notre corps, cela mérite bien qu'on s'intéresse à ce liquide vital et qu'on se mobilise pour le préserver, non ?
Plus nous serons nombreux à être bien informés et conscients des dangers qui pèsent sur notre mer (mère) à tous, plus nous serons efficaces à la protéger, pour notre bien commun et surtout pour le bien des générations futures.
L'océan et le littoral ( lac et plan d'eau y compris ) ne cessent de se dégrader, transformant les plages et la mer en de véritables décharges.C'est pour cela qu'il faut lutter contre les agressions dont est victime ce milieu qui nous a vu naître.
ETAT DE L' EAU DANS LE MONDE
Clé du développement durable, la maîtrise de l'eau constitue un défi mondial. La survie de régions entières dépend de cette ressource stratégique.
La "Planète Bleue" va-t-elle mourir de soif ? Les cris d'alarme se multiplient.
Sur le seul continent africain, 80 millions de personnes sont exposées au choléra et 16 millions de cas de typhoïdes sont enregistrés chaque année.
De 1940 à 1990, la consommation mondiale d'eau a quadruplé.
D'ici à 2025, compte tenu d'une population mondiale qui dépassera 8 milliards d'habitants, contre, 5,6 actuellement, et compte tenu aussi de la multiplication des besoins, la demande risque d'augmenter de 650 %.
D'ores et déjà une vingtaine de pays vivent en dessous du seuil de pénurie grave, avec des ressources renouvelables qui sont inférieures à 1 000 m3 par tête et par an. En 2025, ils seront près de 35, pour l'essentiel au Moyen-Orient et en Afrique.
Si rien n'est fait, 3 milliards de personnes devront affronter des pénuries plus ou moins sévères.
Cet "état de l'eau" dans le monde est d'autant plus décevant qu'il fait suite à la Décennie Internationale organisée par les Nations unies à l'initiative de l'OMS et dont l'objectif était l'accès universel à l'eau potable et à l'assainissement.
La rapidité de l'accroissement démographique (qui avait été sous-estimée) et la lenteur de l'amélioration des taux de couverture ont fait que le nombre de personnes n'ayant accès ni à l'un ni à l'autre ont augmenté par rapport à 1990, année de clôture du programme.
A comportements inchangés, la "crise de l'eau" sera inévitable et aiguë.
Trait d'union entre les peuples, l'eau risque de devenir de plus en plus source de conflits, et ce d'autant plus que près de 300 bassins fluviaux s'étendent sur le territoire d'au moins deux pays.
Le stock d'eau de la planète
UNE ABONDANCE EN TROMPE-L'OEIL
Les mers et océans accaparent 97,5 % de l'eau totale de la planète, ce qui revient à dire que l'eau douce ne représente que 2,5 % du "stock".
Plus des deux tiers de cette partie sont concentrés dans les glaciers et la couverture neigeuse, un tiers gît dans les nappes souterraines, plus ou moins accessibles. Moins d'un pour cent compose l'humidité des sols et de l'air.
Il ne reste donc que 0,3 %, soit 0,007 de la totalité de l'eau de la planète dans les rivières, ruisseaux, réservoirs et lacs. Seule cette infime partie est aisément disponible et se renouvelle le plus rapidement : 16 jours en moyenne pour une rivière, 17 ans pour un lac.
La quantité d'eau consommée
Elle s'élève elle entre 2 500 et 3 000 km3 par an.
Ce qui est bien moins que la quantité prélevée, aujourd'hui estimée entre 4 et 5 000 km3.
On estime que plus de la moitié de l'eau disponible de façon réaliste est déjà prélevée.
A elle seule l'agriculture engloutit pour l'irrigation 67 % de l'eau prélevée alors que l'industrie en absorbe elle 23 % et les agglomérations aux alentours de 10 %.
L'agriculture consomme aujourd'hui 5 fois plus qu'au début du siècle, contre 18 pour les agglomérations et 26 pour l'industrie.
Les gestes sont pourtant simples, pour vous qui pêché. Il vous suffit de simplement de ramasser vos déchets personnels, fil, bouteilles plastiques, cannettes de divers boissons, sac plastic, boîte d'asticots ou autres appâts..... La liste est longue et en personne responsable que vous êtes vous le savez très bien et je suppose que vous faites tout pour laisser les lieux propres.
Mais tout les pêcheurs ne sont pas comme vous, pas aussi responsable, alors je compte sur vous pour leur dire que l'on ne joue pas avec notre mère et que même si les industriels ne respecte pas ça. Il ne faut pas dire qu'il y en a qui pollue plus que nous, alors quitte à ce que cela ne plaise pas, faite le quand même.
Laissons une chance à nos enfants