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2 participants
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ikrome
Alevin
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MessageSujet: friture   friture EmptyLun 12 Juil 2010, 00:21

voila chu de nice, je peche cazi de la friture, donc sa vous avez des tites astuces
ou des recettes de patte ou meme des appats qu'on ramace
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ikrome
Alevin
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ikrome


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MessageSujet: re   friture EmptyLun 12 Juil 2010, 01:30

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Vsjou


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MessageSujet: Re: friture   friture EmptyLun 12 Juil 2010, 11:54

Salut si tu veut savoir quel appat qu'on peut attraper en bord de mer les voici:
Aufaite la prochaine fois soigne ta phrase la c'est illisible presque.






Les Esches


Esches marines


Arénicole


La
présence d’arénicoles (arénicola marina) se reconnaît par la présence
d’espèces de spaghettis sableux qu’elles laissent à marée basse.
Abondants dans les estuaires et baies abritées sur toutes les côtes. Se
récolte à l’aide d’une bêche ou fourche. En Irlande l’arénicole est
traditionnellement une esche pour la pêche du bord de flets, vieilles,
limandes mais peut aussi être très efficace pour la morue et le merlan
en pêche côtière
en bateau. L’arénicole se conserve pour quelques jours emballée dans du
papier journal placé dans un endroit frais.



Grande Gravette



Se
trouvent sur les côtes est et sud et sont excellents pour la pêche
notamment morue, poissons plats, merlan, tacaud, et roussette. Il se
conserve vivant durant quelques
semaines dans une glacière sur un plateau de sable de corail et
humidifié régulièrement avec de l’eau de mer.
Néréride de Vase (Nereis Diversicolour)


Très
commun dans les parties vaseuses de la plupart des estuaires. Ces
petites néreides sont un bon appat de remplacement
lorsqu’utilisés en grappe pour le mullet et la vieille ou à la plombee
pour le poisson plat. Il est difficile de le garder vivant au delà de
quelques jours.




Gravette blanche (Nephtys Hombergi)


Aussi
très abondant, souvent associé a l’arénicole et efficace lorsqu’il est
utilisé avec d’autres appâts comme l’arénicole ou un lambeau de
poisson. Se conserve jusqu’à une semaine dans les mêmes
conditions que le red ragworm. A noter cependant qu’il survivra moins
longtemps si melangé avec des espèces plus aggressives.



Gravette (Nephtys Caeca)



Rare
et très localisé dans sa repartition en Irlande. C’est aussi l’esche la
plus recherchée par les pêcheurs de compétition qui gardent jalousement
le secret de leur approvisionement. C’est en effet souvent le seul
appât efficace par temps clair et de nombreuses
competitions ont été remportées grace à cette esche. Se trouve
généralement dans le sable clair en limite des marées basses de
printemps. Se conserve assez
longtemps sur plateaux de sable de corail humide. Ne devrait jamais
être mélangé avec d’autres vers.



Crabe



Le
crabe est une esche très souvent utilisée pour la pêche du bord,
donnant d’excellents résultats pour une variété d’espèces souvent de
belle taille. Il peut être utilisé dans la plupart des situations, en
estuaire et sur la plage où il est excellent pour la plupart des
pêches mais aussi en pêche côtière pour raie, roussette et poisons
plats et au large pour la morue.



Le crabe vert (Carcinus maenus)



Mue
au moins une fois par an, généralement avant la reproduction.
Généralement en mai et juin bien que l’on trouve des crabes en mues
aussi tardivement qu’en octobre dans le sud et sud oust.
Ils
re ramassent le long de côtes abritées, notamment celles où se trouvent
l’algue ‘Fucas Serratus’ sous laquelle ils trouvent abri. Seuls les
crabes mous (en mue) sont utilisés.
Un crabe mou est un
crabe en train de remplacer sa carapace et c’est le meilleur des
appâts. Pour reconnaître un crabe ‘mou’, il suffit de pincer le dernier
segment de l’une des pattes. Si ce
segment se détache et la chair blanche est visible, ce crabe n’est pas
utilisable pour la pêche et devrait être laissé sur place. Si par
contre le
segment se défait facilement, révélant une chair rouge nouvellement
formée, il suffit de retirer la carapace pour pouvoir l’utiliser.
Les
crabes ayant perdu leur carapace mais n’ayant pas encore durci sont
connus localement sous le nom de softies (mous). Ce processus de
durcissement prend environ une semaine. Ils sont alors d’un
toucher doux et ne peuvent pas pincer puisque les pinces sont encore
molles. Généralement, un ‘mou’ se révèlera aussi efficace qu’un crabe
que l’on a pelé
bien que son odeur soit moindre. Il est conseillé pour bien presenter
le crabe de le fixer à l’hameçon à l’aide d’un élastique.



Bernard l’Hermite (Eupagurus Bernardus)



Se
ramasse facilement dans les petits pools rocheux et en dessous de
jetées à l’aide d’une sorte de balance. Bon appât pour morue, raie et
poisons plats en bateau. Il est par contre impopossible de
lancer cette esche du bord en raison de la fragilité de son abdomen.
Comme pour les autres crabes, il doit être attaché à l’hameçon avec un
élastique.
Une autre espèce de crabe pouvant être excellent est le crabe nageur mais il est rarement rencontré en mue.



Calamar et seiche



Le
calamar (Loligo Forbesi) et la seiche (Sepia Officinalis) sont
d’excellents appâts pour un e grande variété d’espèces. Autrefois
difficile à trouver car peu apprécié à table, il est de nos jours très
facile de s’en procurer.
Il arrive aussi de capturer le
calamar à l’aide de leurres appâtés et il faut alors le congeler très
frais. Ils est très facile à conserver congelé dans une glacière tant
que la glace est change régulièrement.
La plupart des
détaillants peuvent aussi vous fournir en calamar de la variété Loligo
Vulgaris que l’on achète déjà congelés en paquets de 454 gr. Ce sont
des appâts très utiles pour raie, roussette, morue et conger.



Coquillages



Les
coquillages sont des appâts très utiles, notamment pour certaines
espèces à petite bouche comme le haddock, la sole ou la limande.



Coque (Cardium edule).

Vit dans le sable humide, juste en dessous de la surface et on peut la
ramasser assez facilement dans la plupart des secteurs côtiers. Très
efficace pour le pêcheur côtier, du bord ou en bateau, notamment pour
les poisons plats, le merlan
et les vieilles. Esche aussi
très éfficace en cocktail avec une autre esche comme l’arénicole ou le
calamar. La morue et le merlan notamment en sont très friands



Bulot (Buccinum undatum).

Le plus grand des escargots de nos côtes, sa chair ferme est appréciée
de la morue, lieu noir, le tacaud et roussette. Le bulot aime les eaux
un peu plus profondes que celles recherchées par son cousin le
bigorneau
et on le trouve généralement dans les parties rocheuses et vaseuses de
la basse marée. Comme pour le Bernard l’hermite, une balance bien
amorçée et laissée le
temps d’une marée haute en bout d’une jetée vous donnera ample
provision d’esches pour la journée.


La Mye Commune (Mya arenaria)

est de forme ovale, de couleur gris foncé ou noir et se trouve surtout
sur fonds vaseux et estuaires. On les localise à marée basse grâce à de
petites dépressions en forme de trou de serrure laissées dans la vase.
Ce trou est crée par le siphon par lequel il aspire les particules
minuscules de
nourriture. On les récolte le plus souvent à la fourche bêche et, une
fois le siphon enlevé, c’est un bon appât pour la pêche en bateau.
Panaché avec une
arénicole ou néréide, c’est aussi un bon appât pour le bar et le
poisson plat. La plupart des autres espèces de bivalves sont des
créatures d’eau profonde et ainsi rarement accessibles au pêcheur.


La moule (Mytilus edulis)

se trouve sur la plupart des côtes rocheuses et notamment à proximité
d’une sortie d’eau douce où elle se ramasse facilement. Une fois
retirée de sa coquille, la moule devrait être ficelée sur l’hameçon à
l’aide
d’un fil élastique. Excellent pour la pêche en bateau pour morue, lieu
noir, plie et limande. Si l’utilisation de la moule n’est pas
immédiate, elle devrait
être sortie de sa coquille et congelée par sachets de 20. Cela permet
une meilleure conservation de cette esche et facilite son transport
dans une
glacière. La moule gelée est une excellent solution de remplacement en
hiver lorsqu’il est difficile de se procurer d’autres esches.
Le couteau (Ensis Siliqua)
est aussi une excellente esche pour la pêche du bord et en bateau.
Assez commun sur les côtes Irlandaises, il demande cependant un peu
plus
d’efforts pour le récolter que la moule. Le couteau est un coquillage
éffilé pouvant atteindre 17 cm de long, vivant sur sable humide en
limite des basses
eaux. Difficile à capturer en creusant en raison de la profondeur à
laquelle il peut se trouver et sa méfiance au moindre mouvement sur le
sable. La meilleure
méthode de capture est de répérer son trou sans signaller sa présence
et d’y verser du sel. En essayant de refouler ce sel, le couteau
jaillit vers la
surface où il peut alors être cueilli d’une main agile et place dans un
seau. C’est une méthode aléatoire mais une heure de travail devrait
donner 20 à 30
couteaux. Le couteau est coriace et attirant pour de nombreuses espèces
notamment en été mais surtout pour le bar en automne et la morue en
hiver.


Poissons



Toutes
les espèces de poisons gras sont utilisables dans la plupart des
situations en pêche en mer mais ils sont
particulièrement efficacies pour la capture de gros poisons prédateurs
comme le requin , milandre, ange de mer, pocheteau et thon.


Maquereau (Scomber scombrus)

: est utilisé pour la capture de toutes – ou Presque – les espèces,
du bord ou en bateau. Il peut être utilisé en lambeau pour le turbot,
lieu jaune, lieu noir et grondin. La queue, plus résistante, est
utilisée pour la raie, grande roussette, aiguillat et lingue, tandis
que le maquereau entier est
excellent pour requins, pocheteaux et congre. On se procure facilement
le maquereau en le pêchant “à la mitraillette”. Le maquereau frais est
supérieur à
la majorité des appâts congelés mais il est toujours prudent d’avoir
une petite réserve congelée, surtout pour les mois d’hiver, quand
l’aprovisionnement en
appâts est plus difficile. La plupart des poisons gras se détériorent
rapidement, surtout par temps chaud, et ils devraient donc être
congelés le
plus rapidement possible après leur capture. Le maquereau peut aussi se
congeler entier mais il faut alors le vider et nettoyer l’intérieur à
l’eau
saléen avant de la congeler. La plupart des détaillants fournissent des
plaquettes de maquereaux entiers congelés.


Le Hareng (Cuplea Harengus)
est rarement capture à la ligne mais c’est un excellent appât pour la
plupart des espèces. Il peut s’acheter frais dans la plupart des
poissonneries
et super-marchés et il présente aussi
l’avantage sur le maquereau de mieux supporter la congélation et se
détériore moins vite. Le Hareng est efficace aussi utilise en panache
avec d’autres esches, notamment la grande Gravette.


Le grand lançon (Ammodytes tobiannus) qui atteint 15 cm et le lançon commun (Hyperoplus lanceolatus) qui peut atteindre 30 cm, sont d’excellents poisons appâts.
Le
grand lançon est très abondant le long des côtes sableuses et c’est un
excellent appât pour le bar, le lieu et la roussette. Une façon
originale de le capturer est la méthode de Cornouailles
appelée “vingelling”par laquelle on explore le sable humide à l’aide
d’un grand couteau ou d’un crochet. L’action recherché consiste à
“faucher” à une
profondeur de 15 cm environ et lorsqu’un lançon se manifeste , faire
prevue de dextérité et rapidité pour le capturer avant qu’il ne
s’enfonce dans le sable à
nouveau. Le lançon commun est rarement vu du bord car il aime les
profondeurs plus importantes. Il se capture très bien avec de petits
leurres de type Sabiki
en bateau et c’est appât de premier ordre pour le bar, turbot, raie,
milandre et morue. Le lançon vivra plusieurs heures dans un seau d’eau
de mer fraîche et bien aérée.
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