propositions sérieuses

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Scalimétrie : Etude des écailles des poissons, permettant de déterminer leur âge.

Ichtyologie : Partie de la zoologie qui traite des poissons. Elle aborde la classification (taxinomie), l'anatomie et les mœurs.

Eurytherme : Se dit d'une espèce supportant de grandes variations de
température.

Dimorphisme: Aspects différents au sein d'une même espèce (en général dimorphisme sexuel: différence entre mâle et femelle). Du grec dis="deux fois" et morphe="forme"

Invité

Amphibiotique : Organisme capable de vivre dans 2 milieux différents. Du grec amphi="des deux côtés», bios="vie"

Anadrome : Se dit des poissons qui peuvent vivre en eau douce et eau salée (exemple : Anguille)

Biotope : Ensemble des facteurs bien définis qui caractérisent un milieu pour lequel certains organismes sont mieux adaptés pour vivre. Du grec bios="vie" et topos="lieu"
Catadrome : Se dit d'un poisson migrateur qui nait et se reproduit en mer, et grossit en eau douce.

Chromatophore : cellules cutanées responsables des changements de couleur chez certains poissons et mollusques. Du grec chroma="couleur" et pherein="porter"

Invité

Euryhaline : Se dit d'une espèce qui supportent de grandes variations de salinité de l'eau.

Eurytherme : Se dit d'une espèce supportant de grandes variations de température.

Nématode : Type de ver minuscule commun dans le sol, sur les plantes, dans le lit des cours d'eau et comme parasite.

Pélagique : Poisson vivant en pleine eau ou prés de la surface.

Zooplancton : ensemble de petits animaux dérivant près de la surface. En eau douce, il est composé principalement de Crustacés.

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très intéressant ...

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Tous les Suisses parlent grec ? propositions sérieuses Icon_scratch

Nan, j'déconne ! propositions sérieuses 49811

Très intéressant. propositions sérieuses 604815

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Kashima a écrit:: Tous les Suisses parlent grec ?

Nan, j'déconne !

Très intéressant.

Propositions sérieuses ici !!!!! fouetter

Tu fais quoi ce soir mon beau ? :majrit: :majrit: :majrit:

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Classé indécentes ....

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lacustris a écrit:: Amphibiotique : Organisme capable de vivre dans 2 milieux différents. Du grec amphi="des deux côtés»

Tout s'explique !!!! ..... propositions sérieuses Siffle

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La pêche est l'activité consistant à capturer des animaux aquatiques (poissons, mais également crustacés, céphalopodes... ) dans leur milieu naturel (océans, mers, cours d'eau, étangs, lacs, mares). Elle est pratiquée par les pêcheurs, comme loisir ou profession. Les techniques et engins de pêche sont nombreux, dépendant de l'espèce recherchée, du milieu, des bateaux. La pêche est plus ou moins encadrés par une réglementation qui tend à se renforcer pour protéger la ressource de l'épuisement.

La FAO estimait en 2005, qu'environ 38 millions de pêcheurs et d'aquaculteurs fournissaient dans le monde des emplois directs et indirects à à peu près 200 millions de personnes. Chaque humain consommait en moyenne 14, 4 kg/an de poissons sauvages issus de la pêche, mais aussi 7, 4 kg issus de pisciculture[1].

Vocabulaire : Dans le cas des cétacés (baleine, cachalot, ou dauphin toujours consommé au Japon, on parlera plutôt de «chasse» ; on parle aussi de chasse sous-marine pour le tir au harpon de poissons ou la collecte de crustacés).

Le qualificatif halieutique sert à désigner la connaissance de la biologie et de l'exploitation des ressources de la pêche.

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L’adoption de la directive cadre sur l’eau en 2000 oblige les états membres à définir et à mettre en œuvre des programmes de mesures à l’échelle des districts hydrographiques de manière à répondre aux objectifs de bon état des eaux souterraines et superficielles d’ici 2015.
Cette situation demande aux états membres de réflechir à de nouveaux outils de financement et à des instruments de gestion tels les permis à polluer (pays nordiques) ou à prélever ( pays du Sud de l’Europe) négociables, en particulier pour répondre aux besoins de financement croissants sans que cela se traduise par une augmentation de la facture finale pour les usages de l’eau et pour le budget de l’Etat.

Dans ce contexte, le séminaire européen intitulé Quel(s) rôle(s) pour les instruments économiques dans la gestion des ressources en eau en Europe ? Enjeux politiques et questions de recherche donne une occasion unique pour réfléchir au rôle que les instruments économiques pourraient jouer dans la gestion future des ressources en eau, que ce soit pour financer les programmes d’actions ou pour inciter à une utilisation rationnelle des ressources disponibles.
Le séminaire européen s’adresse aux économistes, aux experts de l’eau impliqués dans l’élaboration et la mise en oeuvre des stratégies et politiques de l’eau, les décideurs, les acteurs de l’eau, aux représentants de la société civile, les entreprises et gestionnaires de la recherche ainsi que les experts travaillant à l’interface entre science et politique.
Les résultats issus de ce séminaire seront synthétisés et mis à la disposition des experts européens en charge de la DCE, y compris dans le cadre de la Stratégie Commune Européenne, ainsi que des experts de l’OCDE. Les résultats pourront contribuer à affiner les priorités des appels à proposition de recherche dans le domaine de l’économie de l’eau, en particulier dans le contexte de IWRM.Net et du 7ème Programme cadre de recherche et développement de l’union européenne.

Invité

A l’interface entre science et politique, cet atelier proposera un espace de dialogue et d’échanges entre économistes, décideurs, acteurs de la gestion de l’eau, chercheurs… sur l’établissement et la mise en œuvre de (nouveaux) instruments économiques dans le domaine de l’eau. Plus précisément, l’atelier européen permettra de :
1. Partager des expériences pratiques sur la mise en œuvre d’instruments économiques, ces expériences permettant d’appréhender la demande politique en ce qui concerne les concepts, méthodes et outils d’analyse économique ainsi que l’expertise à mobiliser ;
2. Confronter les expériences de mise en oeuvre et de la recherche dans le but d’identifier :
Les facteurs clés de succès d’une mise en oeuvre effective des instruments économiques dans le secteur de l’eau, que ce soit pour l’élaboration, de l’instrument lui-même, les arrangements institutionnels, les mesures d’accompagnement ou les adaptations techniques nécessaires …. ;
Les conditions nécessaires à ce que ces instruments créent des incitations suffisantes au changement de comportement des usagers de l’eau et conduisent à des gains en efficacité et à la mobilisation de ressources financières permettant d’assurer une gestion durable des ressources en eau et l’atteinte des objectifs écologiques de la DCE ;
3.Contribuer à l’identification de questions de recherche répondant aux principaux enjeux d’intégration des instruments économiques dans les politiques de l’eau– dans le domaine de l’économie bien sûr, mais également à l’interface entre économie et autres disciplines telles la psychologie et sociologie, l’écologie, la gouvernance…

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Histoire et caractère

Le frêne, le chêne et l’if étaient vénérés par les anciens Germains, et le Moyen Âge fut l’âge d’or de ce prénom et de ses dérivés. Yves était avec Roland à Roncevaux ; il fut, par ailleurs, révélé à l’Angleterre par la conquête normande ; Yvonne y fut très prisée, et connaît actuellement les faveurs de l’Écosse et de l’Allemagne. Yvette, dès le Moyen Âge, ne manquait pas non plus d’adeptes. Enfin, le roman courtois de Chrétien de Troyes, Ivain ou le chevalier au lion, contribua à la vogue de ces prénoms.
S’il n’y eut pas, semble-t-il, de sainte Yvette ou Yvonne, il y eut en revanche deux saints Yves. Le premier (1040-1116) fut évêque de Chartres et se permit d’excommunier Philippe Ier, qui s’était permis de changer de femme par voie de répudiation de l’une et d’épousailles douteuses de l’autre, déjà mariée – moyennant quoi Philippe s’octroya la permission de jeter saint Yves en captivité pour quelques mois. Relâché, saint Yves rédigea de nombreuses lettres et sermons, où des accents pacifistes s’élèvent au gré d’une théorie s’attachant à cerner et réduire le « droit de guerre ». L’autre saint Yves est saint Yves de Kermartin, né à Minihy-Tréguier, en Bretagne (1253-1303) ; ce fut un juge ecclésiastique irréprochable, d’une austérité et d’une intégrité qui suscitèrent le dicton :
Sanctus Yvo erat Brito,
Advocatus et non latro,
Res mirando populo.
Autrement dit : « Saint Yves était breton, avocat et pas voleur, chose étonnante pour le peuple. » De 1291 à sa mort, saint Yves vécut dans un dépouillement complet, se faisant « père et avocat des pauvres », et recueillant ceux-ci dans son manoir familial, seul bien encore en sa possession. Il est devenu le saint patron des professions de loi.
Mais comment Yves se voit-il lui-même ?
– Disons que j’ai la tête solide. Je suis un volontaire-né, qui allie le goût de l’extrême rigueur, logique et morale, à celui de la maîtrise de soi. On ne me désarçonne pas facilement en jouant sur mon émotivité, que je contrôle fort bien. Certes, il m’arrive d’exploser, de bouillir, de réagir vite et violemment, mais je possède trop d’exigence intérieure pour me laisser déborder par la contrariété, la contradiction ou l’échec. Que voulez-vous, j’ai une ténacité, une opiniâtreté de Breton endurci, ainsi qu’un sens poussé du devoir, de la mission à accomplir vaille que vaille. Je crois à la justice, au dévouement, au sacrifice, et quand je crois, je crois ! Mes jugements, sur moi-même comme autrui, sont sans concession : il faut dire que je suis doté d’une intelligence profonde, ruminatrice, lente mais sûre ; la réflexion à l’emporte-pièce, le trait d’intuition trop rapide me paraissent plus brillants, c’est-à-dire superficiels, qu’efficaces. Je suis de la race des bûcheurs, des coureurs de fond méthodiques, pas des sprinters échevelés. Du reste, ma vitalité, très puissante, et mon goût de la vie, fort enraciné, me font un jeu des entreprises à longue échéance. Les amours tumultueuses et passionnelles m’attirent moins que la tendresse durable, calme, où je me plais à redécouvrir les bienfaits de la patience et de l’humilité. Avant tout, la sincérité et l’honnêteté du cœur me paraissent dignes de foi. Je déteste les démonstrations affectives qui tiennent du tourbillon possessif et de l’envahissement, et j’apprécie en revanche les amitiés solides, fraternelles, où je vois le gage des vraies complicités ; celles où chacun, au-delà des différences évidentes, reconnaît pleinement et clairement les mérites de l’autre, son moi secret. Je ne donne pas ma confiance au premier sourire ni au premier battement de paupière venu, mais quand je l’accorde, c’est à jamais. On peut dire qu’au premier abord, j’ai tout d’une forte tête, du genre vieux loup de mer à qui « on ne la fait pas », et que je ne suis pas facile à vivre ni à deviner d’un coup, mais c’est précisément là une vision trop rapide : il faut savoir attendre, et l’on découvre ensuite, au-delà d’une rudesse, voire d’une rigidité apparente, de quelles merveilles de générosité un Yves est secrètement porteur. Et puis, j’ai une sorte de timidité bien à moi, qui confine au scrupule, au goût de la méditation préalable, et à une pudeur certaine face à l’expression des grands élans de l’esprit et du cœur. À la limite, il me paraît vaguement sacrilège d’en dire trop, et de le dire n’importe quand. Du reste, il est clair à mes yeux que je vous en ai quasiment trop dit ; alors, je vous en prie, taisons-nous…

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Trop fort mon pote ! propositions sérieuses 49811

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Cool l'interview de St Yves. propositions sérieuses 49811

Et quelle culture ! propositions sérieuses 32979

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A la place d'eurytherme; il aurait été judicieux d'ajouter poïkilotherme, puisque tous les poissons sont des êtres poïkilothermes. C'est a dire que les poissons sont des êtres vivants à sang froid et que ceux si ne supportent pas des écarts de température. C'est pour cette raison que les poissons réduisent leur activité pendant les périodes où l'eau est plus froide puisque la température du corps des poissons est identique à la température de l'eau. C'est également pour cela que les poissons ne mordent plus beaucoup lorsque l'eau se refroidi ou se réchauffe rapidement en quelques heures

Mais sinon, c'est intéressant pour les personnes qui pêchaient sans approfondir leur connaissance sur le milieu aquatique et la vie en général des poissons

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et sinon, ce serait plus la sclérochronologie pour obtenir l'age des poissons de façon plus précise mais également, sa croissance et son environnement en étudiant soit une écaille (donc scalimétrie) ou un os dans le cerveau du poisson , methode qui est plus précise qu'une écaille

P.S: SVP ne vous entrainez pas en arrachant toutes les écailles des poissons lol!

, quasi impossible sans microscope :p

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romaindu7245 a écrit:: A la place d'eurytherme; il aurait été judicieux d'ajouter poïkilotherme, puisque tous les poissons sont des êtres poïkilothermes. C'est a dire que les poissons sont des êtres vivants à sang froid et que ceux si ne supportent pas des écarts de température. C'est pour cette raison que les poissons réduisent leur activité pendant les périodes où l'eau est plus froide puisque la température du corps des poissons est identique à la température de l'eau. C'est également pour cela que les poissons ne mordent plus beaucoup lorsque l'eau se refroidi ou se réchauffe rapidement en quelques heures

Mais sinon, c'est intéressant pour les personnes qui pêchaient sans approfondir leur connaissance sur le milieu aquatique et la vie en général des poissons

Citation :

C'est ton point de vue l'ami comme ce n'est pas forcement celui de tout un chacun ...

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